Quand nous sommes sortis de la salle Albert-Rousseau hier soir, on ne voyait pas la lune. J’aurais pourtant souhaité la voir. La face cachée de la lune, version cinéma, décevra peut-être un peu ceux qui ont vu la pièce de théâtre. Le cinéma apporte une réalité différente, tout en gardant toute la saveur et l’humour des textes originaux. Un grand film, un Lepage proche du public et, comme toujours, très proche de la Ville de Québec. Je suis encore sous le charme.