Much ado about nothing, comme dirait les anglais. Dommage qu’on ait perdu autant de temps, d’argent et de salive… ça aurait pu servir à améliorer les services de proximité, à développer et construire quelque chose de plus solide et de plus fonctionnel… Et considérant les taux de participation, ici à Québec, on voit bien que ça n’intéressait pas grand monde à part deux ou trois animateurs de radio démagogues et deux ou trois anciens maires en mal de royaume.
Pour la région de Montréal, dommage que ça nous donne la chance de constater qu’il est encore dur de vivre constructivement entre anglophones et francophones.
Bon, assez perdu de temps, on passe à autre chose, y’a plein de choses à faire!
Hey, deux comptes de taxes à Boucherville. Après ils nous diront que ça va couter moins cher.
Au moins, ici, c’est pas une question de langue. Plutôt une question de personne du troisième age avec un désir profond de rien voir changer autour d’eux.
En effet, si l’explication est relativement facile pour Montréal ou Québec, c’est plutôt la consternation sur la Rive-sud de Montréal.
L’intégration n’avait pratiquement pas commencé à Montréal. Par exemple, les pancartes annonçant un arrondissement n’étaient toujours pas érigées. Mais à Brossard, dans les nouveaux quartiers, ce sont des pancartes de Longueuil qui étaient affichées. Sans compter que l’actuel Hôtel de ville de Longueuil est à Brossard.
Quel gâchis !