cinéma: mémoires affectives.
Toujours plaisant de voir l’évolution d’un confrère de classe du secondaire, presque jaloux de la chance qu’il a de pouvoir créer des choses de cette envergure.
Une jeune fille à la fenêtre était un excellent premier film, même si on sentait quelques clichés cinématographiques québécois: la neige, le sang, la fille à la fenêtre, Anne Hébert et Kamouraska. Mémoires affectives s’inscrit dans une lignée qui promet, toujours la neige et l’hiver, mais une approche plus personnelle, plus mature, à l’intersection des Mémento, Un crabe dans la tête et de l’humour subtil et intelligent des films de Robert Lepage. Beaucoup aimé.