Il y a dans Fred Pellerin un peu de l’âme de Sol: le problème électile.
Y’a pas à dire la politique au Québec, c’est un sport national. Presqu’autant que le hockey. On dira ce que l’on voudra sur le fait que nos partis n’offrent plus de projets de société ou que nos chefs n’ont pas le charisme des Lévesque et des Trudeau, y’a quand même quelque chose de fascinant à observer la fascination qu’ont, encore aujourd’hui, les gens pour la chose politique.