Mois : avril 2007

Enfin débarassé de la Altima. Retour aux choses sérieuses. Joie!

Un petit ménage dans les cartes mémoires qui traînent ça et là:

Depuis quelques mois, j’ai récupéré mon premier ordinateur du grenier familial (ça va faire plaisir à Clément de le revoir!) et je l’ai malheureusement laissé à l’abandon dans le sous-sol ici (faute de grenier), jusqu’à la semaine dernière quand le copain Jeff m’a demandé s’il fonctionnait encore… Et bien, oui! (la disquette était encore dans le lecteur! Faut pas oublier que c’est moins puissant qu’un iPod ce truc, mais le jeu est le même.)

Dans le ménage, cette superbe photo d’une technique de Wii en duo pour les petits.

Et aussi, les photos de Noirot, le petit mâle sur lequel nous fondons les faibles espoirs d’un élevage…

Je crois que j’en ai déjà parlé, mais je crois que la plus belle révolution gouvernementale qui pourrait nous arriver, c’est la simplification des formulaires d’impôt. Mais que font nos architectes informationnels, nos designers et nos ergonomes?

Si le gouvernement connaît déjà plus de 90% de nos renseignements fiscaux, pourquoi ne peut on pas simplifier le processus? Combien coûte, en temps, en erreur, en vérification, en fonctionnaires, toute cette complexité?

Si les gens comprenaient leur rapport d’impôt peut-être que la démocratie se porterait mieux!

Je me demande bien pourquoi on se donne la peine d’avoir des bureaux pour travailler alors que le train est si efficace. Nouvelle tendance: ne pas payer pour l’Internet. Juste travailler, sans l’interuption du téléphone, des nouveaux courriels, du clavardage ou du twitter. Peut-être les trois heures les plus productives de la semaine.

Ces réunions de production sont souvent le moment de partager les conclusions de nos activités de R&D de fin de semaines, ce matin:

– La risoteuse, rizeuse, cuiseur de riz, peu importe son nom, est un must.

– ma recette de riz vient de Rouxbe, LE site de cuisine.

– les côtes levés c’est tendance (et là aussi!), mais c’est meilleur sans la carbonisation (le secret c’est l’aluminium).

Via Guy Kawasaki: Seth Godin, The Dip:

Question: Other than hindsight, how does someone know when it’s time to quit?

Answer: It’s time to quit when you secretly realize you’ve been settling for mediocrity all along. It’s time to quit when the things you’re measuring aren’t improving, and you can’t find anything better to measure.

Smart quitters understand the idea of opportunity cost. The work you’re doing on project X right now is keeping you from pushing through the Dip on project Y. If you fire your worst clients, if you quit your deadest tactics, if you stop working with the people who return the least, then you free up an astounding number of resources. Direct those resources at a Dip worth conquering and your odds of success go way up.

What’s the worst time to quit? When the pain is the greatest. Decisions made during great pain are rarely good decisions.

Pas toujours facile la vie de «trendsetter»:

Tentant depuis quelques jours d’adhérer aux préceptes du Mandarin Collar Society, je m’avoue vaincu par l’incapacité de trouver dans cette belle ville de Québec une chemise à col Mao de moins de 145$ (en plus de deux heures ce matin, je n’en ai vu que deux dans le grand complexe Laurier / de la Cité / Sainte-Foy (être tendance ça implique de ne plus dire « Place », ni « Belle-cour »).

Ne reculant devant rien, je me tournerai donc vers le Tailor Store pour m’en commander une à mon goût et sur mesure.

Pourquoi toutes ces personnes qui doivent se présenter à la maison « entre 8h00 et 9h00 mercredi matin » ne sont-elles jamais encore là à 10h18?

Mise à jour: «problème d’informatique monsieur, on s’excuse, vous n’avez pas été cédulé ce matin, on passe cet après-midi entre 12h30 et 15h00». B R A V O !

Re mise à jour: il a branché son générateur d’image, il a dit « bloc optique », il a pris quatre photos, il est reparti. J’aurais pu le faire moi même, j’étais au courant.

Simple petite réflexion pour noter (et se souvenir de) tout le plaisir qu’il y a à regarder, avec un tantinet de recul, un environnement de travail évoluer en y voyant toute la puissance (et la complixité) des gens qui le composent et de leurs interactions.

Simple petite note pour se souvenir que les gens assument souvent bien des choses ou se font des hypothèses relativement radicales sur les opinions, comportements ou capacités des gens qui les entourent.

En gestion, la principale qualité, c’est de ne jamais assumer que quelque chose est blanc ou noir. Tout est toujours gris, et rarement le même gris selon l’observateur. C’est tout le plaisir du défi de réconcilier tout ça, et de comprendre le pourquoi des teintes de gris.

Parfois je me fascine moi même d’être toujours fasciné (et motivé!) par tout ça.

TVA 18h00 Québec: CFD sur les congés de maternité. (Pas de panique, c’est professionnel!)