Bel article dans Le Soleil ce matin sur le RTC…
Faudrait demander combien ça a coûté Trajecto et la version précédente (qui ne valait pas vraiment l’argent qu’ils y avaient mis), ce sont des deniers publics… Et ce que ça coûte en perte de visibilité de ne pas être dans Google Maps comme toutes les grandes villes du monde… (même Montréal!).
Et ils vont valider avec leur services juridiques… *soupir*
Grouillez vous plutôt d’offrir un contrat au gars de RTC Mobile, c’est simple et évident, ils travaillent pour vous presque gratuitement.
Mais souvenez-vous, ils l’ont dit «l’informatique, c’est de plus en plus populaire»… *re-soupir*
Et on veut faire de Québec une ville branchée! (juste copier Vancouver ça serait déjà bien…)
C’est drôle venant de toi, n’étant un utilisateur chevronné des transports en commun à Québec… et même Montréal.
Ou quand le fonctionnariat réfléchi longuement… C’est incompréhensible d’apprendre qu’ils auraient refusé l’offre gratuite de Google. Mais bon, on en est pas à la première drôle d’idée du RTC. Est-ce qu’on a les chiffre sur la popularité de la carte Opus? Les résultats des premiers trimestres étaient semble-t’il désastreux.
C’est le CFD citoyen (payeur de taxes!) qui parlait!
La difficulté de la RTC à faire simple et efficace ne date pas d’hier. Je cite par exemple, l’obstination entêtée des dirigeants à ne pas afficher les trajets et les horaires aux arrêts de bus. C’est Low Tech (facile à réaliser sur « toutes les plateformes »), c’est fait partout au monde, ça coûte presque rien… Et ça ne s’est jamais faitde manière cohérente à Québec!
L’informatique, c’est, pourla RTC, juste plus de corde pour se pendre…
C’est effectivement très décourageant de lire cet article du Soleil. Trajecto a coûté 500 000 $ à implanter. Google voulait faire le travail gratuitement. Le RTC devait juste mobiliser 2-3 ressources pendant le projet (comme ils ont surement fait pour Trajecto).