Vu Elephant. Parce qu’on ne peut voir comme il faut les gros problèmes de proche. Lu Windows on the World. Parce que la mode est aux auteurs qui se thérapeutisent en tentant de décrire l’indescriptible paranoïa de notre époque en hyperréalité… comme s’ils souhaiteraient y être.
Et ça dit quoi ?
Est-ce un navet ?
Le film de l’année ??
Répondra pas… C’est un film qui laisse bouche bée… 😉