Y’a quelque chose de particulier à propos de Montréal le soir. Le feeling d’une ville, le feeling de la nuit, une grande ville dans un petit monde, peuplée d’humains, pas mal tous pareils au fond. Toujours plaisant à observer, cette faune. C’est mon côté sociologue qui parle, je crois.
J’ajouterais qu’il y a quelque chose d’indéfénissable qu’on ne retrouve pas ailleurs. Une sorte de franchise, de liberté, de désir d’espace, latent, sous des airs endormis, surtout en ce moment, non?