pmp.

private mail protocol.

C’est une idée qui me trotte dans la tête depuis un moment. Peut-être est-ce que ça existe ailleurs (grenouille?). J’aimerais que le système de courriel intègre un système de « permission ». Un peu comme ICQ. Je veux pouvoir autoriser des gens à m’envoyer du courriel, pour les autres je veux recevoir une demande d’autorisation que je validerai si je peux identifier de qui il s’agit (idéalement avec un serveur central qui pourrait « valider » l’envoyeur, à la pgp).

Vous me direz que ça peut se faire par un filtre, je sais, mais ce n’est pas ce que je cherche, je veux que tout le monde utilise le même système, qu’en sachant ça, personne ne puisse même penser m’envoyer du spam. Et que tout ça soit intégré à l’interface de nos logiciels de courriels.

Le problème ici, c’est encore le « network effect »… La valeur ajoutée augmente en fonction du nombre d’utilisateurs du système. Y’a-t-il des systèmes de courriels (ouverts, propriétaires ou autres) qui jouent avec ces possibilités?

journaux.

Lire les journaux d’une seule et même semaine en une soirée fait presque le même effet que de passer à travers 500 messages résultant de trois jours de débranchement.

Mais ça m’a fait pensé que j’avais oublié de parler de Adaptation, vu vendredi au Metreon. Quel bon film, complexe comme je les aime, plusieurs niveaux, du Jonze/Kaufman à son meilleur. Chaude recommandation.

dimanche.

J’ai des lecteurs/trices fort étranges qui, quand je suis trop «personnel» m’accusent (bien grand mot) d’être nombriliste, mais qui au cours des dernières 24 heures ont profité de toutes les occasions pour me demander des détails sur le brunch.

Sachez que le tout s’est plutôt orienté, samedi, vers une longue marche dans San Francisco, de Union Square jusqu’à l’Exploratorium et passant par les phoques (se souvenir de dire « otaries ») du Pier 39. Le diner fut pris au classique (et quelque peu touristique) Buena Vista Café. Le tout fut fort charmant et bien plaisant, et amical. Point à la ligne.

Fait intéressant tout de même: The Buena Vista Café, which caught a little Hollywood-style limelight as a location shoot for the movie « When a Man Loves a Woman, » is renowned for its Irish Coffee.