hardcover. paperback.

Image of the new powerbook?

Je sais que photoshop fait des merveilles, mais avouons tout de même que le slogan et l’idée donne tout de même une certaine crédibilité à ce qui semble être une fuite d’imprimeur. Ça expliquerait Inkwell, AdressBook, iCal et quelques autres trucs. Qui vivra verra!

NDLR: finalement c’est probablement un vaio japonais passé dans photoshop.

moelleux.

L’ami parisien aurait définitivement été fier de nous (C. et ?) ce soir, alors qu’en testant le Yuzu, on nous a offert le dessert. Moelleux au chocolat blanc. Miam. Belle ambiance vachement tendance, beau lavabo, bonne bouffe, malheureusement trop bonne facture pour un resto à moins d’une minute de chez soi.

rasage.

Samedi matin pluvieux sur Montréal. Plaisir d’une autre époque que d’entrer chez un vrai barbier et de demander une coupe et un rasage. Plaisir d’entendre la lame sur la peau, plaisir de sentir la lotion d’après-rasage. Plaisir de saisir l’ambiance, le lieu et le moment.

monnaie.

Hier, à Montréal, en sortant d’un cocktail, je me ramasse face à face avec une exposition de machinerie étrange. J’explore un peu, je me rend compte que ça m’aurait tellement été utile pour mon activité de roulage de cennes en fin de semaine. J’en veux!

ex.

Je ne lis pas Châtelaine. Mais ma belle-cousine le fait pour moi. Quel agréable article de Sophie Durocher sur les ex. Je cite, en adaptant:

«Elles m’ont tenu au chaud. On a eu des froids. On se voit de loin en loin, mais je les considère comme des proches.»

«Il y a celles qui nous laissent des remords et, (…) celles qui nous laissent des regrets. Soit on en a trop fait, soit pas assez.»

«Et, croyez-moi, il n’y a rien de plus agréable que de faire affaire avec une ancienne amante. Personne autour de vous ne comprendra pourquoi vous souriez tous les deux tout le temps et d’où vient cette « belle complicité ».»

«Retrouver un ex au hasard de la vie, c’est immédiatement se replonger dans d’anciennes odeurs. Retour en arrière assuré. Il y a des images qui nous reviennent en plein visage même après des années d’absence. Et des rires, des caresses, des attentions qui nous reviennent en plein coeur.»

via Châtelaine, 10.2002, page 58