dimanche.

J’ai des lecteurs/trices fort étranges qui, quand je suis trop «personnel» m’accusent (bien grand mot) d’être nombriliste, mais qui au cours des dernières 24 heures ont profité de toutes les occasions pour me demander des détails sur le brunch.

Sachez que le tout s’est plutôt orienté, samedi, vers une longue marche dans San Francisco, de Union Square jusqu’à l’Exploratorium et passant par les phoques (se souvenir de dire « otaries ») du Pier 39. Le diner fut pris au classique (et quelque peu touristique) Buena Vista Café. Le tout fut fort charmant et bien plaisant, et amical. Point à la ligne.

Fait intéressant tout de même: The Buena Vista Café, which caught a little Hollywood-style limelight as a location shoot for the movie « When a Man Loves a Woman, » is renowned for its Irish Coffee.

huge.

il n’y a qu’un mot: « huge ». Ce powerbook en aluminium est énorme. Je doute fort que je l’utiliserais dans la vraie vie, outre que pour épater les voisins dans l’autobus. Le bébé Powerbook quant à lui est beaucoup plus intéressant, une combinaison presque parfaite!

live.

Merci à Erick pour m’avoir donné le courage de faire le grand coup. Mon premier keynote en personne. Quelle ambiance. Méchant party. Méchant beau Powerbook. Passé trois gardes de sécurité, comme un professionnel.

Jobs.

Il y a un hic à être au MacWorld en direct. C’est que le keynote est difficile à couvrir. Par les années passées j’ai utilisé de nombreuses stratégies. Primo: il est impossible d’être dans la salle de conférence sans passe. Deuxio: l’exposition (et le kiosque d’Apple) n’ouvre qu’à 10h30. Tertio: il y a habituellement deux retransmissions vidéo sur place, une dans une grande salle réservée à ceux qui n’ont pas eu de place à l’endroit officiel, l’autre dans le kiosque d’Apple.

La meilleure technique consiste habituellement à réussir à entrer dans l’exposition avant 9h00, ce qui est théoriquement impossible sans « passe » d’exposant. Qu’à celà ne tienne, inspiré de « Catch me if you can » j’ai réussi deux fois dans le passé à me faufiler. Je vais tenter le coup demain matin. « Monsieur le gardien, ma passe d’exposant est dans le kiosque »…