Tendances et découvertes. Trends & insights.
Comme un enfant. Extraordinaire.
(J’ai comme l’impression d’être le quatrième enfant de ma famille parisienne d’accueil!)
(Max, ne vas pas le voir, si ça m’a fait pleurer, ce sera sûrement pire pour toi considérant les tristes évènements des derniers jours. Toutes mes pensées vous accompagnent dans cette épreuve.)
Mi-voyage.
(dur dur de ne pas toucher un ordinateur quand y’en a trois (Mac, naturellement) dans le même appartement).
C’est Paris, il fait chaud, mais au moins aujourd’hui, quelques nuages rendaient la canicule moins pénible. Troisième jour de marche, au moins une dizaine de kilomètres. Je n’ose regarder la carte. Je m’ennuie de mon monde, mais je retrouve ici d’autres dont je m’ennuyais. Les vacances, ça nettoie le cerveau.
Pour les détails sur les vaches que l’on retrouve partout dans Paris, c’est ici… Pour le reste, Paris c’est Paris, on y mange et on y boit trop bien, et les temps libres sont consacrés à l’écoute de trois matchs de coupe du monde par jour!
Top 3 magasins à importer au Québec: Habitat, Celio et la FNAC.
D’autres photos, sous peu…
Oui. Les vacances débutent officiellement demain 14h00.
Et oui, je ne traîne pas d’ordinateur, parce que je veux vraiment décrocher. Mais j’aurai l’appareil photo, et vous aurez peut-être droit à une ou deux photos par jour… Pas d’horaire précis, Paris de samedi à jeudi, Londres vendredi samedi et dimanche.
L’horaire en une page. On sait ce qu’on va faire la semaine prochaine dans les bistros parisiens (et les pubs anglais!).
je ne suis productif et créatif qu’en mouvement.
Il y a quelques années, bien assis dans un train Bordeaux – Paris, j’écoutais Clément et Jean-Sébastien jaser de projets (faut connaître les deux pour savoir qu’ils jasent toujours de projets). Je m’étais réservé le bout facile de la conversation « alors, on le fait? ». Ça a donné Opossum.
C’était presque normal que si l’un quittait, l’autre se trouverait en situation de remise en question. Pas qu’ils soient si en symbiose que ça, simplement qu’ils forment le tandem presque parfait des grands projets pragmatiques. Le projet Opossum bien lancé, le témoin a été passé, il prendra sûrement de nouvelles formes, mais il restera fondamentalement à l’image de ses fondateurs et de leurs idées. C’est vrai qu’on va s’ennuyer. Merci JSB. J’ai beaucoup appris.
Tout le monde gardera un oeil sur JSB là, moi je le suivrai aussi ici et ici (bien que je doute de la contribution du deuxième conard!).
Réservé weekend à Londres:
départ: Paris – Gare du nord: 16 juin @ 8h07
arrivée: Londres – Waterloo: 16 juin @ 9h51
Cool. Très cool.
Et oui, en ce samedi pluvieux, il y avait une vente de cochonnes d’Indes. Praline a maintenant une compagne, Caramelle, et pour l’instant elles semblent bien s’entendre.
Nouveau logo de Québec Solidaire, vives réactions sur le blogue de Nicolas:
« Décryptage sémiotique :
« Nous jonglons avec les différences, nous qui sommes des individus gris charcoal, troubles, près d’être fantômatiques. C’est dans les différences que se trouve le mouvement, la cohésion, et l’espoir d’un monde meilleur parce que celui-ci est vraiment drabe, nous faisant des têtes en forme de poire et un corps en lambeaux. » » – xkr
et
« La racine du problème, c’est que Québec Solidaire a eu recours à une méthode décriée par la communauté des designers graphiques. Ils ont organisé un concours non rémunéré et ouvert à tous, pour avoir un maximum de propositions.
En plus de refuser de reconnaître la charge de travail qu’implique la création d’un logotype, Québec Solidaire ignore complètement les véritables compétences professionnelles des designers.
Et le parti ne sort absolument pas gagnant de ce processus puisque le designer n’a pas établi de contact direct avec le client dès le début du projet, afin de capter l’essence même de l’organisation pour mieux la représenter. On réduit donc le travail de graphisme à une simple production stylistique, dépourvue de communication réfléchie. » – Jean-François Proulx
Aussi le débat sur le blogue de la Société des designers graphiques du Québec.
Le journal MIR ferme ses portes.
« En six mois, nous n’avons pas pu faire plus de 3 000$ de revenus. J’ai calé 300 000$ dans cette aventure » – Michel Brûlé, éditeur.
« Ce fut tout de même une expérience positive. Au départ, nous étions des gens de lettres qui n’avions pas vraiment de connaissances dans le domaine des technologies de l’information. » – Meeker Guerrier, rédacteur en chef de l’hebdo.
C’est de l’apprentissage qui coûte cher, mais 300 000 $ pour partir un blogue collaboratif, avec une intro poche en flash, c’est un peu beaucoup en 2006… non?
