Ça y est, fallait que ça me rattrape: mal de tête, sinus bouchés, mal de gorge, etc.
Constat: on est toujours plus malade après avoir parlé à sa mère (tu fais de la température? tu devrais prendre un bain! Bois beaucoup d’eau!).
vendredi.
Ambiance:
Vendredi. Montréal. Tribune Café. Ile sans fil. Musique: blues. Work, web & mail.
conspiration.
Bon, mettons une chose au clair, je sais pas pourquoi, mais ça fait au moins quelques semaines que tout le monde conspire pour me faire croire que Tennessee Williams est une fille, alors que c’est tout le contraire. C’et un gars! Bon.
lundi.
Remerciements aux patriotes, avec promesse de publier, de me donner le temps de m’investir dans la teinture du futur meuble de télévision. Deux couches, puis ce sera le vernissage (trois couches).
Semaine entre Québec (mercredi, jeudi) et Montréal (mardi, vendredi).
mario.
Hier, en allant chercher quelques sushis pour souper, je manque écraser
Mario Dumont qui traversait la rue (bon d’accord, j’exagère un peu!). Avoir su que c’était son 35e anniversaire aujourd’hui, je me serais forcé pour lui souhaiter un joyeux anniversaire.
Leçon: toujours retenir la date d’anniversaire de nos politiciens et de nos vedettes, on ne sait jamais quand on va les croiser, ça doit bien paraître.
grandprix.
Bon, a qui on doit vendre notre vieille idée de simulateurs de course versus un véritable grand prix? Renaud offre les données télémétriques en direct sur son site web pour le grand prix de Monaco. (via Christian.)
pianiste.
J’en avais vaguement entendu parlé avant-hier à la radio, mais Jean-Pierre Cloutier m’a fait réalisé ce matin toute le mystère et le romantisme de l’histoire du pianiste mouillé.
resto.
Prenez n’importe quel livre « sociologique » récent et apprenez comment mieux commander au restaurant! Je vais définitivement lire Freakonomics, parce que ça rejoint exactement mes théories sur les cartes de vins ou sur les offres de n’importe quel vendeur.
fascination.
Bon, j’avoue, ça fait plus de 10 ans que je vis dans Internet et y’a encore des choses qui me fascine, comme le fait d’entendre avec à peine quelques heures de délais, une conversation (oui, oui, un podcast!) entre Loïc et Mario, dans un lounge parisien, comme si on y était! (Paris en moins!)