banque.

J’avoue, j’ai toujours eu le fantasme d’être banquier. Étrange comme je suis, vous comprendrez que ce n’était pas pour les raisons qui vous viendrons à l’esprit, comme le fait de cotoyer beaucoup d’argent, de jouer avec le risque ou d’exercer une habileté particulière en finance, non, ma motivation tourne autour de trois points plus étranges:

– la possibilité de fréquenter des filles en tailleur toute la journée.
– la possibilité d’avoir un kit d’étampe à moi et de pouvoir les utiliser à bon escient, ayant toujours été fasciné par les caissières de banque et le bruit de leur tampon encreur.
– le décorum de toutes les opérations bancaires, l’ambiance bancaire si on peut dire!

Je sais, je sais, je fais rien comme les autres.

bon.

Enfin, on peut avancer maintenant! RIP.

(Pour Mathieu qui s’inquiète de notre capacité à l’avancement: tout facteur qui mobilise négativement les gens, qui démotive (pour le spectacle!) le peu de leaders que nous avons et qui fait la « job » facile de « parler contre » au lieu de « faire pour » devrait comprendre que ça nuit à l’avancement de la société en général…)

liste.

– finir les impôts, maintenant que les derniers reçus sont arrivés.
– faire le grand ménage du bureau à la maison, y’a beaucoup trop de paperasses qui traînent.
– trouver un kit pour le lit digne de ce nom (oui, oui, avec de la couleur pour N.)
– planifier le ski pour samedi (ou dimanche?).
– préparer la chambre pour la visite qui s’en vient!
– même l’agenda de la fin de semaine est plein!

Je crois que l’on devrait établir des mois officiels de fatigue dans l’année. Le mois de novembre, et le mois de mars qualifient assez bien il me semble. Avril, ça sera le printemps, j’ai déjà débuté le magasinage du BBQ…