lundi.

Dimanche après-midi, opération sapin terminé. La recette: une scie (électrique!) trouvée après de longue recherche (Rona-Réno-Canac-Canadian Tire-Home Depot) et une mère (demandez moi pas pourquoi elle est toujours là quand j’ai des choses à scier, mais c’est comme ça!).

Lundi matin, une autre semaine qui commence. Cette semaine on ajuste tout.

(J’ai corrigé l’entrée précédente: le sapin avait 9’… et j’habite au 6e étage, alors pas question de le lancer par la fenêtre. Quand aux analyses freudiennes sur les scies et ma maman, je vous laisse le travail!)

dimanche.

J’avoue, j’aurais cru qu’une fin de semaine tout seul m’aurait permis de faire plein de choses, mais une fois le ski éliminé par le froid ambiant, il ne reste que du ménage et/ou du magasinage à faire. Hier, perdu deux heures à ne pas trouver le disque que je cherchais dans les centres d’achat bondés de monde à la recherche d’un endroit pour se réchauffer. Souper sur le sofa en écoutant Décore ta vie (j’avoue, j’avoue, un jour je ferai quelque chose (n’importe quoi!) en MDF.) et Hommes en quarantaine (j’ai huit ans pour me préparer!), martini en main. Ce matin, questionnement existenciel: « Comment se débarasser de cette chose de 9′ qui perd ses épines juste quand on le regarde? »…

Pense que je vais me gâter moi aussi, déjeuner au Clocher penché, avec un ou deux journaux…

2004.

Objectifs: développement, marge de manoeuvre, qualité, voyage et calme.

Dans la mire: San Francisco (parce qu’on s’y sens presque chez soi), Paris (parce qu’on y est confortable), Belgique (parce que N. m’en parle souvent), Londres (parce que ça fait longtemps), Tokyo (parce que Lost in Translation m’a donné le goût).

Énergie, santé, énergie.