Finalement c’est en page C1 (B1, j’aurais été dans Loft Story) et personne ne saura jamais que je ne portais pas de souliers cette journée là!
affaires.
CFD par CFD : le monde des affaires. (tel que promis l’an dernier).
Entrepreneur: fascination technologique ou trip de pouvoir?
Ni un ni l’autre, plutôt une ferme confiance en la capacité humaine. Oui, je suis là où je suis aujourd’hui parce que je suis passionné/obsédé/fasciné par l’information (j’ai longtemps pensé que c’était par la technologie, mais avec le temps j’ai compris que l’essence même de l’informatique, c’est l’information). Mais le rôle d’entrepreneur résulte d’une série de hasards (ma mère m’a dit l’autre jour que mon père disait de moi que j’avais le tour de suivre le courant, de désamorcer les obstacles et de toujours arriver à mes fins). Le véritable « trip » de mes huit années d’entreprenariat: l’apprentissage. Chaque problème à résoudre, chaque conversation, chaque interaction humaine avec l’équipe et les clients, chaque états financiers, chaque projet de fou, chaque décision constituent de nouveaux apprentissages pour moi. Le véritable plaisir de CFD l’entrepreneur est là.
Qu’avez-vous appris au cours des derniers mois?
Je crois que j’ai finalement réalisé que j’avais acquis assez d’intuition pour prendre plus de risque. Naturellement les risques sont relatifs (certains diront même qu’ils sont plutôt sécuritaire comme risques!). J’ai compris aussi que l’entourage y est pour beaucoup dans la capacité d’analyser une situation, et que la connaissance de cet entourage (et de leur biais!), permet de prendre des décisions éclairées. Compris également que l’introduction de nouveaux éléments dans un système évite la stagnation. Compris surtout que l’on doit respecter le contexte et le timing pour chaque chose.
Les gens comprennent-ils le monde des affaires?
Rien n’est tout à fait blanc ou tout à fait noir dans la vie. Je crois que ce qui me déçoit le plus, c’est que les gens qui analysent le monde des affaires portent des jugements peu informés sur des situations, des gens ou des entreprises. J’ai toujours dit que les entrepreneurs que l’on voit trop souvent dans les journaux dire que leur entreprise est prospère sont ceux qui ont le plus de problèmes. Je trouve que les médias ne poussent pas très loin l’analyse dans leur portrait des entrepreneurs, que ça manque parfois d’humanité, et que l’on ne voit que rarement le portrait global d’une situation.
Le « monde des affaires » c’est simplement une question d’échange et de confiance. Pour que la confiance y soit, l’information doit être complète et l’échange juste et équitable. Comme l’information est rarement complète, il faut introduire la flexibilité et l’adaptabilité dans l’équation.
Ce qui me fascine ces temps-ci ce sont les structures d’entreprises et leur dimensionnabilité. On en reparlera!
missions.
Toutes les missions (personnelles et professionnelles) ont été effectuées avec succès! Productivité au maximum.
vedette.
Lundi, cfd et ses bas, à voir dans le Soleil…
carnet.
rss.
Voici (enfin!) un élément clé pour l’utilisation du Clié UX-50!
segway.
Note pour ma prochaine visite à Montréal: Seg!
lune.
Quand nous sommes sortis de la salle Albert-Rousseau hier soir, on ne voyait pas la lune. J’aurais pourtant souhaité la voir. La face cachée de la lune, version cinéma, décevra peut-être un peu ceux qui ont vu la pièce de théâtre. Le cinéma apporte une réalité différente, tout en gardant toute la saveur et l’humour des textes originaux. Un grand film, un Lepage proche du public et, comme toujours, très proche de la Ville de Québec. Je suis encore sous le charme.
retour.
Pendant que le serveur rendait définitivement l’âme hier (avec une sympatique odeur de pentium brûlé), je me suis amusé à synchroniser mon nouveau jouet avec mon carnet d’adresses et mon iCal (quelqu’un sait comment « purger » les 8000 évènements d’avant 2003? Ça aiderait à la synchro…). Petite merveille de la communication moderne!
soirée.
Tchang Kiang: un incontournable montréalais.
Réservoir: tout à fait tendance.