Lili-Marie. Samedi matin. 7 livres 7 onces. (Aucune idée pourquoi faut spécifier le poids de ces petites choses, mais bon!)
Ariane.
Vendredi soir entouré d’amis. Ariane Moffat égale à elle-même, pleine d’énergie. Présence simple et authentique. Belle soirée, très belle.
spirit.
L’avantage des festivals de théâtre c’est qu’il font découvrir des pièces que l’on aurait pas la chance de voir sans eux. Spirit est une pièce toute simple sur les conflits, la guerre, la mort, les fils et leur père décédé (tiens une constante). Un plan incliné, du pain, des marionnettes, le théâtre, l’imprisation. Simple, sans prétention, amusant, sérieux et touchant. Miam. Belle soirée.
éblouissement.
Simplement brillant, un projecteur qui masque le présentateur! Fallait y penser!
conduire.
C’est vraiment le temps d’obtenir son vrai permis de conduire quand tous les chauffeurs de taxi du quartier te saluent le matin en passant…
nouvelles.
Une bonne amie me soulignait cet après-midi que mon carnet compensait bien pour ma faible propension à donner de mes nouvelles par téléphone ou par courriel. Bien que certains/taines argumenterons que ce carnet ne constitue qu’une très faible fenêtre sur la véritable nature du CFD, ça m’a permis de faire un petit bilan des « dons de carnets » que j’ai fait au cours des derniers mois, prétexte à obtenir des nouvelles de gens que je ne vois pas assez souvent ou que je trouve intéressant. La diversité est au rendez-vous, ma fascination aussi.
Pierre est un carnettier dans l’âme, ça paraît. MrZbra et Monsieur Happy Happy Donut sont plus que prolifiques (bien qu’anglophones, personne n’est parfait). Mario est pratiquement une vedette internationale. Jean est fort intéressant.
L’étrange Fred a une bonne plume et un style tout aussi particulier que sa personne. Francis s’exprime. Le beau-frère de l’autre pourrait être plus actif! Xanax s’y remet (enfin!).
Même les gens avec qui je travaille s’y sont mis: Stéphanie, Yannick (ça vient!), et Mathieu…
Fascinant de voir ce que les gens peuvent produire, fascinant de voir la facilité qu’on tout ce monde à partager leurs passions et leurs intérêts!
invasions.
C’était comme un test. Probablement parce que l’histoire collait trop à une réalité jamais assez lointaine pour moi. Braillé comme un veau. Revécu bien des choses, pas de regrets, bien au contraire. Un film qui donne le goût d’être bien avec la vie, d’en profiter pleinement.
Nom.
Les plans ne sont concrets que lorsqu’on leur trouve leur identité prore. Le plan a maintenant un nom. Ça va nous prendre un logo.
tendance.
Dating a blogger, read all about it, dans le New York Times. Ce que je suis tendance. Et elle tout autant…
plage.
Hier, plage Jacques-Cartier. Naturellement, comme tout bon québécois pas assez explorateur de sa propre ville, je ne connaissais pas la Plage Jacques-Cartier. Honte à moi. On se serait cru à San Francisco.