enigmo.

L’avantage du congé pascal (outre le chocolat, les gros soupers entre amis, et le mal de tête du lendemain de veille) c’est d’avoir un peu de temps pour s’amuser. La pire chose c’est de rencontrer un de ces jeux qui ne pardonne pas: enigmo.

livre.

Le Salon du livre est au monde de l’édition ce que le Parc safari est au monde animal. Excellent endroit pour faire du social le samedi après-midi (tout comme pour croiser Mario et Bernard en campagne).

balcon.

Y’a des jours comme ça où tu reviens à ton bureau pour trouver tes confrères et consoeurs de travail sur le trottoir. J’aurais pu croire à une manifestation, mais non, c’était une évacuation. Tu parles d’une idée de vernir des planchers avec des produits toxiques. Au moins le pompier a dit que nous avions de beaux bureaux. Le balcon et la bouteille de vin au soleil en prenant un peu de temps pour lire des trucs, c’est une belle fin de journée.

nostalgie.

Étrangement, on pourrait croire que je suis entouré de nostalgique. Les derniers jours ont été marqués par des élans de nostalgie. Deux ans dimanche dernier, vieilles photographies, souvenirs informatiques et souvenirs. L’avantage de la nostalgie, c’est que ce n’est pas triste. Au contraire. Un goût de faire des choses, de s’impliquer, de voir arriver le printemps, de voir du monde, d’ajouter du pain sur planche, de converger. Comme si d’ici quelques jours toutes les bases seraient là pour la croissance: la fin des élections, la fin de la guerre et la fin de Star Académie. Méchante convergence tout de même.