Circa CFD

Lire les journaux d’une seule et même semaine en une soirée fait presque le même effet que de passer à travers 500 messages résultant de trois jours de débranchement.

Mais ça m’a fait pensé que j’avais oublié de parler de Adaptation, vu vendredi au Metreon. Quel bon film, complexe comme je les aime, plusieurs niveaux, du Jonze/Kaufman à son meilleur. Chaude recommandation.

Je veux une franchise pour le Canada. Et celle là également, tant qu’à faire.

Mondavi. Niebaum Coppola. Sattui. Sterling. Chandon.

J’ai des lecteurs/trices fort étranges qui, quand je suis trop «personnel» m’accusent (bien grand mot) d’être nombriliste, mais qui au cours des dernières 24 heures ont profité de toutes les occasions pour me demander des détails sur le brunch.

Sachez que le tout s’est plutôt orienté, samedi, vers une longue marche dans San Francisco, de Union Square jusqu’à l’Exploratorium et passant par les phoques (se souvenir de dire « otaries ») du Pier 39. Le diner fut pris au classique (et quelque peu touristique) Buena Vista Café. Le tout fut fort charmant et bien plaisant, et amical. Point à la ligne.

Fait intéressant tout de même: The Buena Vista Café, which caught a little Hollywood-style limelight as a location shoot for the movie « When a Man Loves a Woman, » is renowned for its Irish Coffee.

C’est un détail, mais je ne l’ai pas vu mentionné ailleurs. Les nouveaux Powerbook roule sous une version 10.2.4 de Mac OS X.

Martine, O Martine, j’ai besoin de l’ultime resto de brunch/déjeuner du dimanche à San Francisco. Des suggestions? (oui, oui, c’est pour y inviter C. question de bien compliquer mon mental.)

Si vous n’aviez pas encore vu la publicité des nouveaux Powerbook.

il n’y a qu’un mot: « huge ». Ce powerbook en aluminium est énorme. Je doute fort que je l’utiliserais dans la vraie vie, outre que pour épater les voisins dans l’autobus. Le bébé Powerbook quant à lui est beaucoup plus intéressant, une combinaison presque parfaite!

Viens d’installer ma copie de Keynote (distribué gratuitement aux spectateurs du keynote). Bye bye Powerpoint.

Merci à Erick pour m’avoir donné le courage de faire le grand coup. Mon premier keynote en personne. Quelle ambiance. Méchant party. Méchant beau Powerbook. Passé trois gardes de sécurité, comme un professionnel.